CNETfrance.fr a testé lundi dernier le robot-aspirateur Neato Botvac Connected de Neato Robotics. Un test intéressant qui semble avoir été concluant et dont nous vous proposons ici un résumé. Si vous voulez lire le test complet, nous vous invitons à vous rendre sur le site CNETfrance.fr
Le test commence sur les plus du Botvac Connected et déjà, on sait à quoi s’attendre : « L’un des meilleurs robots aspirateurs que nous ayons testés […] Les moins du produit relèvent de son prix, 800€, plus les quelques défauts rencontrés lors du test.
L’emphase est mise sur son efficacité, l’ergonomie de son design et bien sûr, son application dédiée. Elle vient justifier la hausse du prix de l’aspirateur-robot Neato tout en étant « bien conçue, claire et facile à utiliser ». Le test soulève cependant quelques points manquant qui ne feraient qu’améliorer les performances du robots et l’utilisation de cette application : « des informations sur la durée des différents modes de nettoyage ou des messages pour avertir d’un souci lorsque le robot se coince quelque part. »
Le Neato Botvac Connected est par la suite passé à travers des tests de performance : pour ce faire le testeur fait passer des tests à différents robots, ici le Botvac Connected est confronté à un Roomba 880 et au Roomba 980 d’iRobot, au Samsung Powerbot VR9000, au Neato Botvac 85, au Neato XV Signature Pro et au Neato Botvac D85. Ces robots sont placés sur la même surface et doivent avaler la même quantité de riz, poils d’animaux et sables. C’est au robot qui fait la meilleure performance en termes de ramassage qui l’emporte. Le même test est répété sur de la moquette, un tapis fin et du parquet.
Lors de ces tests de performance, le Neato Botvac Connected l’emporte sur tous, excepté sur le sable, l’élément le plus difficile pour les robots-aspirateurs, lors duquel il n’arrive que quatrième.
Au final, mis à part quelques couacs comme le fait de se perdre dans un tapis aux poils trop épais ou demander des interventions, le Neato Botvac Connected semble avoir séduit la rédaction de CNETfrance.fr